Notice: Undefined variable: thePost_cat in /home/ploi/n-o-s.ca/public/wp-content/themes/nos-architecture/inc/theme-functions.php on line 122
Enseignement
01.09.20

Atelier de Design Urbain @ Université de Montréal

À titre de professeur invité, Charles Laurence Proux, co-fondateur de NÓS, propose un atelier de design urbain à l’Université de Montréal à l’automne 2020.

« As porous as this stone is the architecture. Building and action interpenetrate in the courtyards, arcades, and stairways. In everything they preserve the scope to become a theater of the new, unforeseen constellations. The stamp of the definitive is avoided. No situation appears intented forever, no figure asserts its ‘thus and not otherwise’ »

– Benjamin W. et Lacis A. Naples.

Portant sur la réinvention du centre-ville en contexte pandémique, l’atelier intitulé « zone franches » invitait les étudiant à réfléchir à des systèmes urbains résilients, adaptatifs et audacieux.

L’urbanité post-pandémique

La ville post-pandémique ou la ville tout court ? La crise sanitaire actuelle amène son lot de changements à la vie en société, à commencer par ce qui a trait aux villes et à leur espace public. Haut-lieu d’interaction sociale extra-ménage et donc potentiellement de contagion, l’espace urbain se réaménage, se médicalise et s’aseptise selon des critères sanitaires donnés, ses pratiques se transformant à travers une série de nouvelles normes sociales et de paramètres physiques. Parallèlement, on assiste au retour de la crainte de la ville, souvent associée au centre et à sa densité. L’image de la ville en est affectée et sa réinvention est nécessaire. L’opportunité se présente donc d’explorer des approches nouvelles, à travers une écologie sociale renouvelée pour la ville post-pandémique.

Territoire d’intervention : le centre-ville de Montréal

Si la crise sanitaire met en exergue des lacunes dans la conception des villes et des pratiques s’y déroulant, certains quartiers, espaces publics et activités semblent mieux adaptés aux changements qui s’opèrent. Pourquoi le centre-ville est-il plus touché et surtout comment sa réinvention peut stimuler, maintenir et renouveler son attractivité ? À quelle vocation le centre peut-il s’accrocher ?